Faire l'amour
Auteur inconnu anti_bug_fck
Cuisine, remède de grand-mère, Réflexion, nouveauté...
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Libellés : Textes à méditer
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Libellés : Livre Le secret
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Libellés : Pensée
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Libellés : Pensée
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Libellés : Textes à méditer
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Libellés : Livre Le secret
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Libellés : J'ai raison, tu as tort
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Libellés : Critiquer les autres
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Libellés : Histoire
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Libellés : Illusions
"Notre peur la plus profonde n’est pas que nous ne soyons pas à la hauteur.
Notre peur la plus profonde est que nous sommes puissants au-delà de toute limite.
C’est notre propre lumière — et non pas notre obscurité — qui nous effraie le plus.
Nous nous posons la question : "Qui suis-je, moi, pour être brillant, radieux, talentueux et merveilleux ?"En fait, qui êtes-vous pour ne pas l’être ?Vous êtes un enfant de Dieu !
Vous restreindre, vivre petit ne rend pas service au monde.
L’illumination n’est pas de vous rétrécir pour éviter d’insécuriser les autres.
Nous sommes nés pour rendre manifeste la gloire de Dieu qui est en nous.
Elle ne se trouve pas seulement chez quelques élus ; elle est en chacun de nous et, au fur et à mesure que nous laissons briller notre propre lumière, nous donnons inconsciemment aux autres la permission de faire de même.
En nous libérant de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres."
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Libellés : Textes à méditer
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Libellés : Textes à méditer
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Libellés : Citation
Un certain homme planta une rose et l'arrosa fidèlement,et avant qu'elle ne fleurisse Il l'examina.
Il vit le bouton qui fleurirait bientôt et aussi les épines.
Et il pensa, "Comment est-il possible qu'une fleur si magnifique provienne d'une plante chargée d'autant d'épines pointues ?"
Attristé par cette pensée, il négligea d'arroser la rose et avant qu'elle ne fut prête à fleurir elle mourut.
Il en est ainsi pour beaucoup.
À l'intérieur de chaque âme il y a une rose.
Les qualités divines plantées en nous à la naissance grandissent parmi les épines de nos erreurs.
Beaucoup d'entre nous se regardent eux-mêmes et voient seulement leurs épines leurs défauts.
Nous désespérons, en pensant peut-être que rien de bon ne peut sortir de nous.
Nous négligeons d'arroser le bien qui est en nous, et finalement, il meurt.
Nous ne réalisons jamais notre potentiel.
Quelques personnes ne voient pas la rose à l'intérieur d'elles-mêmes quelqu'un d'autre doit la leur montrer.
Un des dons les plus extraordinaires qu'une personne puisse posséder est d'être capable de passer à travers les épines et de trouver la rose à l'intérieur des autres.
C'est la caractéristique de l'amour, de regarder une personne et connaissant ses erreurs, de reconnaître la noblesse dans son âme.
Et de l'aider à réaliser qu'elle peut dépasser ses erreurs.
Si nous lui montrons la rose, elle fera la conquête des épines.
Alors elle fleurira, et plus loin fleuriront trente, soixante, une centaine de plants comme celui qui lui a été donné.
Notre devoir en ce monde est d'aider les autres en leur montrant leurs roses et non leurs épines.
Alors seulement nous atteindrons l'amour que nous devrions ressentir pour chacun alors seulement nous fleurirons dans notre propre jardin.
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Libellés : Textes à méditer
Par la suite son visage s'illumina avec une belle rangée de dents dites "de la chance" et chacun s'amusait de ses fossettes rieuses.
Oui, elle était très attirée par le bonheur.
Mais autour d'elle, on lui disait, on lui montrait comment il fallait souffrir, travailler ou se sacrifier avant de goûter au bonheur. On lui avait même laissé croire qu'il valait mieux inscrire dans son corps quelques marques ou cicatrices révélatrices de sacrifices notoires, pour mériter plus tard un peu de bonheur.
Comme elle n'avait aucun goût ni pour les souffrances, ni pour les sacrifices, ni pour le travail, et qu'elle aimait rire dans le soleil, s'amuser, se réchauffer auprès d'amis, elle se trouva vite en conflit et rapidement elle préféra renoncer à son rêve de bonheur, n'y plus penser plutôt que de le détériorer ainsi. Elle le cacha au fond d'une malle. Très vite, le rêve perdit de son éclat et de sa vivacité, puis elle l'oublia.La petite fille, devenue grande, poursuivit des études, se maria et eut beaucoup d'enfants... tout ce qu'il faut pour que comme dans les contes, on puisse accéder au bonheur.
Nulle ombre de bonheur ne vint effleurer sa vie.Elle vécut ainsi, avec économie dans la persévérance, la peine, les obligations et les devoirs. Peu à peu son sourire lui-même se figea sur son visage. Il lui arriva même de rabrouer ceux ou celles qui se permettaient de rire un peu trop bruyamment. Chaque jour elle s'efforça de tenir convenablement le rôle qu'on lui avait appris.
Pour cela, elle veillait à ce que chacun, autour d'elle, reçoive son comptant de bonheur. Cela, c'était permis et même recommandé, mais pas plus !
Quelques fois, cependant, elle percevait qu'en elle vibraient des désirs argentés, elle vivait des tiraillements, des petits pincements au coeur, mais elle ne connaissait pas d'autres façons de faire.Un jour, alors qu'elle était devenue vieille, que ses enfants étaient partis, qu'elle pensait avoir accompli sa tâche, son rêve d'enfant lui toucha doucement le front.
Elle retrouva le coffre où elle avait enfoui son rêve de bonheur, le retourna en tous sens. Elle en sortit les vieilles souffrances accumulées, les rancoeurs, les abnégations, les interdictions, quelques travaux, mis de côté pour les jours où elle manquerait d'ouvrage. Elle retrouva même les recommandations... Les conseils de ses vieux maîtres en éducation qui lui avaient enseigné tout ce qu'elle devait retenir et modifier dans son attitude pour parvenir à vivre des relations harmonieuses.
Elle écarta tout cela, d'abord avec lenteur, puis rejeta le tout. Cela lui coûtait beaucoup de se séparer de ces vieilles choses, mais elle avait besoin d'aérer sa vie. Tout au fond du coffre, bien à plat, bien rangé, elle vit son rêve de bonheur, toujous aussi soyeux et joyeux. Il n'avait pas pris une ride, peut-être même lui apparut-il plus beau encore. Elle s'en saisit et le serra très fort sur son coeur, elle sentit que tout au fond d'elle, elle ne l'avait pas quitté mais qu'il lui avait terriblement manqué.
Elle décida de ne plus s'en séparer.
Elle a aujourd'hui libéré ses éclats de rire. Elle sait accepter, avec chaque fois le même émerveillement, les plaisirs qui sont bons pour elle. Elle sait aussi s'éloigner des contraintes qui lui rappellent les efforts d'antan. Elle redécouvre précieux son besoin de bonheur, de cadeaux colorés à recevoir, à entretenir.Ceux qui l'approchent la perçoivent chaleureuse, rayonnante, authentique. Certains s'en éloignent, sceptiques, mais d'autres se mettent à leur tour à rêver de bonheur.Aujourd'hui, elle ne propose plus de recette, elle invite chacun à retrouver en lui-même ce très vieux rêve enfoui.
Jacques Salomé
Tiré de son nouveau livre :"Contes d’errance, contes d’espérance" aux éditions Albin Michel.
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Libellés : Textes à méditer
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Libellés : Textes à méditer
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Libellés : Citation, K.O. Schmidt
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Libellés : Réflexologie
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Libellés : Humour
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Libellés : Citation
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