Conférence #3, Laisser l'harmonie s'exprimer dans ma vie
La première loi de la Vie est l'ordre, l'harmonie.
L'ultime aventure: nous-mêmes.
Le travail consiste en un travail de conscience et d'harmonie sur soi.
La conscience est champ de Lumière: notre identité profonde est notre divinité intérieure nommée "Je Suis".
Décloisonner le mental afin de permettre l'ouverture du champ de ma conscience, c'est créer "la vie divine sur la terre".
Croire en nous, nous faire confiance c'est croire en nos propres possibilités, non seulement humaines mais surhumaines et divines, et non seulement d'y croire mais de les découvrir nous-mêmes, pas à pas.
Me souvenir que spiritualité et religion ne sont pas nécessairement synonymes.
Refuser le drame - dédramatiser - c'est le mental conditionné, nourri par les sens, donc le monde des apparences, des illusions qui me fait voir non pas juste (avec justesses, tel que tout devrait être) mais faux. N'a-t-on pas dit: "Méfiez-vous des apparences, elles sont trompeuses".
M'apprendre à me référer à mon centre, ce noyau parfait: ce Royaume en nous. M'identifier à mon "Je Suis" - il est parfait; mon Essence parfaite.
Lâcher l'extérieur: m'occuper du-dedans. Le dedans s'occupera de l'extérieur. Nous sommes souverain dans notre royaume et nous menons une vie d'esclave. Nous nous considérons "victimes". Les victimes ont toujours tort. Personne ne peut entrer dans notre zone vibratoire sans être invité.
Élever mon niveau de conscience. Lâcher les problèmes, les manques, les préjugés, les fausses croyances. M'en remettre à mon "Je Suis" pour combler tous mes besoins.
Me faire confiance. Cesser toute agitation tant extérieure qu'intérieure. Faire la paix en moi.
Me référer à la Vérité qui rend libre. La liberté est l'ultime accomplissement. Dieu est un sentiment de plénitude. Dieu est un accomplissement.
Me consacrer à moi-même; m'observer. Mettre autant de sincérité, de persévérance à me pencher sur l'intérieur que sur les livres - nous irons vite et loin. Élargir ma conscience: ma conscience est illimitée. M'ouvrir à l'infini. Lâcher la petitesse, la mesquinerie, les manques. Me nourrir de mon "Je Suis".
La Vérité est une, éternelle et immuable. Notre identité est "Je Suis": notre vraie identité éternelle. Le corps disparaîtra: "Je Suis" demeurera.
"Je Suis" est libre, en paix, heureux. "Je Suis" est parfait.
L'essentiel émerge quand on a tout oublié. Tout commence dans la pensée, y compris notre sécurité, notre protection, notre bien-être, notre bonheur. "En nous" "en nous" en plein milieu de nous: là est notre force, notre puissance.
Ne nous a-t-il pas été dit: que c'est dans la confiance que sera votre force? Notre véritable ennemi ne se trouve pas dans une force extérieure à nous-mêmes, mais dans nos doutes, nos peurs, nos jalousies, dans nos fausses croyances, dans notre manque d'amour de nous-mêmes.
M'aimer: voilà la réponse.
Arrêter de donner de l'importance à la souffrance rédemptrice. "Le but de toute vie humaine est la résurrection non la crucifixion".
Chercher en nous-mêmes, et non dehors ou ailleurs, les causes de nos infortunes et des malheurs du monde. Les circonstances extérieures sont ce que nous sommes.
"Tel un homme penses en son cœur, tel il est".
M'apprendre à être plus vaste. M'ouvrir de plus en plus. Lâcher le passé. M'installer dans un présent éternel. Naître à tous les jours. Mourir au passé. Ce n'est pas une diminution de conscience, mais un passage à une nouvelle conscience. Grandir, grandir par ce manque de tout.
Bienheureuses limites, vous me révélez mon envergure intérieure.
Commencer à naître à autre chose, qu'aux sens, qu'aux apparences, qu'au monde mental - avec de nouveaux yeux, de nouveaux sens non encore formés, comme ceux du nouveau-né qui débarque au monde. C'est une première transmutation par la conscience. Me savoir Lumière, me reconnaître Lumière: l'ombre, l'obscurité disparaîtra.
Notre rôle n'est pas tant d'apprendre que de désapprendre une foule d'habitudes. Les vieux mécanismes mentaux tendent constamment à interférer et à rendre leurs vieux droits, bref à nous convaincre que l'on ne peut pas se passer d'eux. L'on trouve plus commode de procéder "comme d'habitude".
Soyez le Maître de votre mental: non l'inverse. C'est avec l'Esprit que nous avons reçu domination sur tout. Einstein nous a appris que Matière et Énergie sont convertibles: la Matière est de l'Énergie condensée.
Ma pensée est Énergie qui ajuste le réel. Être conscient de notre vraie identité qui est Lumière, c'est pouvoir.
Le Pouvoir dedans peut modifier le mental, développer ses capacités, en ajouter de nouvelles, avoir de l'autorité sur le fonctionnement et l'état du corps, modifier les évènements.
Notre silence intérieur a un pouvoir.
On ne triche pas avec les vibrations. Tout est reçu selon la forme du récipient. Nous obtenons toujours le salaire de nos pensées. Comme la terre nous le rend bien, notre esprit nous le rend tout aussi bien.
Le silence intérieur peut annuler n'importe quelle vibration extérieur.
La vie extérieure ordinaire (qui n'est ordinaire que pour ceux qui vivent ordinairement) devient un immense champ d'expériences et de manipulations des vibrations. Les vraies complications ne sont pas dans la vie, mais en nous-mêmes, et toutes les circonstances extérieures sont à l'image exacte de ce que nous sommes. Nous accrochons toujours les mêmes longueurs d'onde. Nous pouvons dissoudre les vibrations perturbatrices en nous branchant sur cette vibration "Je Suis" en nous: la plus haute vibration et la "plus harmonieuse".
Pour l'Esprit au-dedans de nous, les difficultés, les obstacles, les attaques ne seraient-ils pas un moyen de grandir, d'intensifier sa force, d'élargir son expérience, de s'entraîner?
Ne plus me permettre de retourner au sommeil de la conscience, des habitudes, des sens, des facultés, du quotidien, bref au sommeil de la loi générale, de la conscience sociale.
Nous souffrons parce que nous mettons les choses en dehors du nous. Rien n'est dehors: tout est dedans. M'allumer
La seule chose, en somme, à laquelle il faille renoncer, c'est à notre ignorance et à notre petitesse.
Dès qu'il y a fatigue, c'est le signe certain que nous sommes retombés dans l'agitation superficielle.
Notre "Je Suis" est joie et amour. Cette joie est sans cause - elle n'a besoin de rien pour être, elle est.
Un amour qui n'est pas le contraire de la haine et qui n'a besoin de rien non plus pour être, il est.
Il ne peut s'empêcher d'aimer, c'est son état. "Je Suis" est invulnérable, rien ne le touche. Il est éternel. Il est libre, rien ne peut l'attraper, ni les hommes, ni les idées, ni les doctrines. Il est Dieu en nous. Les limites du temps n'existent plus en "Je suis" - Il est libre, merveilleusement libre de tout. Il n'a besoin de rien pour être, il est l'essence même de la Liberté.
Pendant des vies et des vies, l'âme grandit silencieusement derrière la personnalité de surface. Ce que nous n'avons pas vaincu dans le passé, revient encore et encore, sous des visages légèrement différents chaque fois, mais toujours le même au fond, jusqu'à ce que nous ayons fait face et dénoué l'ancien noeud. C'est la loi du progrès intérieur.
L'évolution ne consiste pas à devenir de plus en plus saint ou de plus en plus intelligent, mais de plus en plus conscient de qui "nous sommes vraiment". La mort est un passage tranquille d'un mode d'expérience à un autre mode d'expérience.
Notre dépendance des sens est une habitude seulement.
Les distances n'entravent que le corps et ses organes, non la conscience qui peut-être partout où elle veut en une seconde, si elle a appris à s'élargir. Nous ne sommes prisonnier que de nous-mêmes. Ce n'est pas le corps qui est malade, c'est la conscience qui fait défaut. Accident, maladie sont toujours le résultat d'une mauvaise attitude, d'un désordre intérieur. Toujours cette corrélation entre notre état intérieur et les circonstances extérieures.
Le sens de la vie se déroule du dedans vers le dehors, même les circonstances extérieures les plus banales - en fait, plus rien n'est banal et la vie quotidienne apparaît comme un réseau chargé de signes qui attendent notre reconnaissance. Tout se tient.
L'attitude intérieure a le pouvoir de modeler les circonstances extérieures. Voilà la liberté royale: L'harmonie correspondant à la vérité profonde de notre être infini.
Rien ne peut résister: les impossibilités se dissolvent.
Quand nous aurons fait dix fois, cent fois la même expérience, qui peut aller du simple rhume ou de la chute banale à l'accident sérieux, suivant l'état intérieur, nous saurons bien que ni notre corps ni le prétendu "hasard" ne sont rien dans tout cela, et que, de même, le remède n'est dans aucune drogue extérieure, mais dans l'attitude juste, dans l'ordre intérieur, dans la conscience.
Si nous sommes clairs, tous les virus du monde n'y peuvent rien, parce que notre force intérieure est plus grande, que notre être vibre d'une intensité trop haute pour cette basse intensité. Seule le semblable peut entrer dans le semblable.
L'ultime aventure: nous-mêmes.
Le travail consiste en un travail de conscience et d'harmonie sur soi.
La conscience est champ de Lumière: notre identité profonde est notre divinité intérieure nommée "Je Suis".
Décloisonner le mental afin de permettre l'ouverture du champ de ma conscience, c'est créer "la vie divine sur la terre".
Croire en nous, nous faire confiance c'est croire en nos propres possibilités, non seulement humaines mais surhumaines et divines, et non seulement d'y croire mais de les découvrir nous-mêmes, pas à pas.
Me souvenir que spiritualité et religion ne sont pas nécessairement synonymes.
Refuser le drame - dédramatiser - c'est le mental conditionné, nourri par les sens, donc le monde des apparences, des illusions qui me fait voir non pas juste (avec justesses, tel que tout devrait être) mais faux. N'a-t-on pas dit: "Méfiez-vous des apparences, elles sont trompeuses".
M'apprendre à me référer à mon centre, ce noyau parfait: ce Royaume en nous. M'identifier à mon "Je Suis" - il est parfait; mon Essence parfaite.
Lâcher l'extérieur: m'occuper du-dedans. Le dedans s'occupera de l'extérieur. Nous sommes souverain dans notre royaume et nous menons une vie d'esclave. Nous nous considérons "victimes". Les victimes ont toujours tort. Personne ne peut entrer dans notre zone vibratoire sans être invité.
Élever mon niveau de conscience. Lâcher les problèmes, les manques, les préjugés, les fausses croyances. M'en remettre à mon "Je Suis" pour combler tous mes besoins.
Me faire confiance. Cesser toute agitation tant extérieure qu'intérieure. Faire la paix en moi.
Me référer à la Vérité qui rend libre. La liberté est l'ultime accomplissement. Dieu est un sentiment de plénitude. Dieu est un accomplissement.
Me consacrer à moi-même; m'observer. Mettre autant de sincérité, de persévérance à me pencher sur l'intérieur que sur les livres - nous irons vite et loin. Élargir ma conscience: ma conscience est illimitée. M'ouvrir à l'infini. Lâcher la petitesse, la mesquinerie, les manques. Me nourrir de mon "Je Suis".
La Vérité est une, éternelle et immuable. Notre identité est "Je Suis": notre vraie identité éternelle. Le corps disparaîtra: "Je Suis" demeurera.
"Je Suis" est libre, en paix, heureux. "Je Suis" est parfait.
L'essentiel émerge quand on a tout oublié. Tout commence dans la pensée, y compris notre sécurité, notre protection, notre bien-être, notre bonheur. "En nous" "en nous" en plein milieu de nous: là est notre force, notre puissance.
Ne nous a-t-il pas été dit: que c'est dans la confiance que sera votre force? Notre véritable ennemi ne se trouve pas dans une force extérieure à nous-mêmes, mais dans nos doutes, nos peurs, nos jalousies, dans nos fausses croyances, dans notre manque d'amour de nous-mêmes.
M'aimer: voilà la réponse.
Arrêter de donner de l'importance à la souffrance rédemptrice. "Le but de toute vie humaine est la résurrection non la crucifixion".
Chercher en nous-mêmes, et non dehors ou ailleurs, les causes de nos infortunes et des malheurs du monde. Les circonstances extérieures sont ce que nous sommes.
"Tel un homme penses en son cœur, tel il est".
M'apprendre à être plus vaste. M'ouvrir de plus en plus. Lâcher le passé. M'installer dans un présent éternel. Naître à tous les jours. Mourir au passé. Ce n'est pas une diminution de conscience, mais un passage à une nouvelle conscience. Grandir, grandir par ce manque de tout.
Bienheureuses limites, vous me révélez mon envergure intérieure.
Commencer à naître à autre chose, qu'aux sens, qu'aux apparences, qu'au monde mental - avec de nouveaux yeux, de nouveaux sens non encore formés, comme ceux du nouveau-né qui débarque au monde. C'est une première transmutation par la conscience. Me savoir Lumière, me reconnaître Lumière: l'ombre, l'obscurité disparaîtra.
Notre rôle n'est pas tant d'apprendre que de désapprendre une foule d'habitudes. Les vieux mécanismes mentaux tendent constamment à interférer et à rendre leurs vieux droits, bref à nous convaincre que l'on ne peut pas se passer d'eux. L'on trouve plus commode de procéder "comme d'habitude".
Soyez le Maître de votre mental: non l'inverse. C'est avec l'Esprit que nous avons reçu domination sur tout. Einstein nous a appris que Matière et Énergie sont convertibles: la Matière est de l'Énergie condensée.
Ma pensée est Énergie qui ajuste le réel. Être conscient de notre vraie identité qui est Lumière, c'est pouvoir.
Le Pouvoir dedans peut modifier le mental, développer ses capacités, en ajouter de nouvelles, avoir de l'autorité sur le fonctionnement et l'état du corps, modifier les évènements.
Notre silence intérieur a un pouvoir.
On ne triche pas avec les vibrations. Tout est reçu selon la forme du récipient. Nous obtenons toujours le salaire de nos pensées. Comme la terre nous le rend bien, notre esprit nous le rend tout aussi bien.
Le silence intérieur peut annuler n'importe quelle vibration extérieur.
La vie extérieure ordinaire (qui n'est ordinaire que pour ceux qui vivent ordinairement) devient un immense champ d'expériences et de manipulations des vibrations. Les vraies complications ne sont pas dans la vie, mais en nous-mêmes, et toutes les circonstances extérieures sont à l'image exacte de ce que nous sommes. Nous accrochons toujours les mêmes longueurs d'onde. Nous pouvons dissoudre les vibrations perturbatrices en nous branchant sur cette vibration "Je Suis" en nous: la plus haute vibration et la "plus harmonieuse".
Pour l'Esprit au-dedans de nous, les difficultés, les obstacles, les attaques ne seraient-ils pas un moyen de grandir, d'intensifier sa force, d'élargir son expérience, de s'entraîner?
Ne plus me permettre de retourner au sommeil de la conscience, des habitudes, des sens, des facultés, du quotidien, bref au sommeil de la loi générale, de la conscience sociale.
Nous souffrons parce que nous mettons les choses en dehors du nous. Rien n'est dehors: tout est dedans. M'allumer
La seule chose, en somme, à laquelle il faille renoncer, c'est à notre ignorance et à notre petitesse.
Dès qu'il y a fatigue, c'est le signe certain que nous sommes retombés dans l'agitation superficielle.
Notre "Je Suis" est joie et amour. Cette joie est sans cause - elle n'a besoin de rien pour être, elle est.
Un amour qui n'est pas le contraire de la haine et qui n'a besoin de rien non plus pour être, il est.
Il ne peut s'empêcher d'aimer, c'est son état. "Je Suis" est invulnérable, rien ne le touche. Il est éternel. Il est libre, rien ne peut l'attraper, ni les hommes, ni les idées, ni les doctrines. Il est Dieu en nous. Les limites du temps n'existent plus en "Je suis" - Il est libre, merveilleusement libre de tout. Il n'a besoin de rien pour être, il est l'essence même de la Liberté.
Pendant des vies et des vies, l'âme grandit silencieusement derrière la personnalité de surface. Ce que nous n'avons pas vaincu dans le passé, revient encore et encore, sous des visages légèrement différents chaque fois, mais toujours le même au fond, jusqu'à ce que nous ayons fait face et dénoué l'ancien noeud. C'est la loi du progrès intérieur.
L'évolution ne consiste pas à devenir de plus en plus saint ou de plus en plus intelligent, mais de plus en plus conscient de qui "nous sommes vraiment". La mort est un passage tranquille d'un mode d'expérience à un autre mode d'expérience.
Notre dépendance des sens est une habitude seulement.
Les distances n'entravent que le corps et ses organes, non la conscience qui peut-être partout où elle veut en une seconde, si elle a appris à s'élargir. Nous ne sommes prisonnier que de nous-mêmes. Ce n'est pas le corps qui est malade, c'est la conscience qui fait défaut. Accident, maladie sont toujours le résultat d'une mauvaise attitude, d'un désordre intérieur. Toujours cette corrélation entre notre état intérieur et les circonstances extérieures.
Le sens de la vie se déroule du dedans vers le dehors, même les circonstances extérieures les plus banales - en fait, plus rien n'est banal et la vie quotidienne apparaît comme un réseau chargé de signes qui attendent notre reconnaissance. Tout se tient.
L'attitude intérieure a le pouvoir de modeler les circonstances extérieures. Voilà la liberté royale: L'harmonie correspondant à la vérité profonde de notre être infini.
Rien ne peut résister: les impossibilités se dissolvent.
Quand nous aurons fait dix fois, cent fois la même expérience, qui peut aller du simple rhume ou de la chute banale à l'accident sérieux, suivant l'état intérieur, nous saurons bien que ni notre corps ni le prétendu "hasard" ne sont rien dans tout cela, et que, de même, le remède n'est dans aucune drogue extérieure, mais dans l'attitude juste, dans l'ordre intérieur, dans la conscience.
Si nous sommes clairs, tous les virus du monde n'y peuvent rien, parce que notre force intérieure est plus grande, que notre être vibre d'une intensité trop haute pour cette basse intensité. Seule le semblable peut entrer dans le semblable.
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