Les plaisirs de Nathalie

J'aime la vie, les gens, la nature, les animaux. J'aime la recherche.

Je suis étudiante en hypnose. J'ai fini mon cours de PNL et je suis enfin maître pénéliste.


mardi 30 décembre 2008

Combien pèse l'eau



Lors d’une de ses nombreuses prestations, le conférencier explique la gestion du stress à son auditoire. En lèvant un grand verre rempli d’eau, il demande : « Combien pèse ce verre d’eau ?
Les réponses vont de 20 gramme jusqu’à 500 grammes. Le conférencier réplique: Le poids absolu de ce verre n’a aucune importance. Tout dépend de la durée que vous essayez de le tenir.
« Si je le tiens une minute, ce n’est pas un problème. Si je le tiens pendant une heure, j’aurai de la douleur dans mon bras droit. Si je le tiens pour toute la journée, vous allez devoir appeler une ambulance. Dans tous les cas c’est le même poids, mais plus longtemps je le tiens, plus il devient lourd. »
Il continue : « Et c’est le même cas avec la gestion du stress. Si on porte un fardeau tout le temps, tôt ou tard, comme le fardeau devient de plus en plus lourd, on ne sera plus capable de continuer. Comme pour le verre d’eau, vous devez le déposer pour un moment et vous reposer avant de le reprendre.
Quand on est frais et dispos, on peut continuer avec son fardeau. Donc, avant de retourner à la maison le soir, déposez votre fardeau de travail. Ne l’apportez pas à la maison. Vous pourrez le reprendre demain.
Quel que soit le fardeau que vous portiez maintenant, laissez-le pour un moment si vous le pouvez. Relaxez. Reprenez le plus tard quand vous serez reposés. Il vous semblera plus léger ..
«La vie est courte. Tachez d’en profiter!»
Et puis il a partagé quelques façons de gérer les fardeaux de la vie :
- Acceptez que certains jours vous êtes le pigeon, et certains jours vous êtes la statue.
- Gardez toujours vos paroles douces et tendres, au cas où vous devriez les ravaler.
- Conduisez prudemment. Il n’y a pas que les voitures qui peuvent être rappelées par leur manufacturier.
- Si vous ne pouvez pas être gentil, ayez au moins la décence d’être vague.
- Si vous passez 20$ à quelqu’un et que vous ne le voyez plus jamais, ça en valait probablement la peine.
- Tout le monde s’en fout que vous dansiez mal. Levez vous et dansez!
- Étant donné que ce sont les premiers vers qui se font manger par les oiseaux, dormez tard.
- Les anniversaires sont bons pour vous. Plus vous en avez, plus vous vivez vieux.
- Vous n’êtes peut-être qu’une personne dans le monde, mais vous pouvez aussi être le monde pour une personne.
- Certaines erreurs sont trop amusantes pour n’être faites qu’une seule fois.
- On peut apprendre beaucoup des crayons. Certains sont aiguisés, certains sont jolis et certains sont ternes. Certains ont des noms bizarres, et tous sont de couleur différente, mais ils vivent tous dans la même boîte.
- Une personne vraiment heureuse en est une qui apprécie le paysage dans un détour.

lundi 29 décembre 2008

Jerry la bonne humeur




Il est toujours de bonne humeur et a toujours quelque chose de positif à dire. Quand on lui demande comment il va, il répond toujours : « Si j’allais mieux que ça, nous serions deux : mon jumeau et moi ! »Gérant d’un restaurant, quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses sont prêts à lâcher leur job pour le suivre d’un restaurant à un autre pour la seule raison qu’ils admirent son attitude. Il est un motivateur naturel. Quand un employé file un mauvais coton, Jerry est toujours là pour lui faire voir le bon côté des choses.
-Curieux, je suis allé voir Jerry un jour pour lui demander : « Je ne comprends pas. Il n’est pas possible d’être toujours positif comme ça, partout, tout le temps. Comment fais-tu ? »-Et Jerry de répondre : « Tous les matins à mon réveil, je me dis que, aujourd’hui, ou bien je choisis d’être de bonne humeur, ou bien je choisis d’être de mauvaise humeur. Je choisis toujours d’être de bonne humeur. Quand il arrive un incident déplorable, ou bien je choisis d’être la victime, ou bien je choisis d’en tirer une leçon.Quand quelqu’un vient se plaindre à moi, ou bien je choisis d’entendre sa plainte, ou bien j’essaie de lui faire voir le bon côté de la chose. »-« Mais ce n’est pas toujours si facile », lui dis-je. Et Jerry d’enchaîner : « La vie, c’est une question de choix. On choisit sa façon de réagir aux situations. On choisit de quelle façon les autres peuvent nous influencer ou non. On choisit d’être de bonne humeur ou de mauvaise humeur. On choisit de vivre sa vie de la manière qui nous convient. »
-Plusieurs années plus tard, j’entends dire que Jerry a fait incidemment ce qu’on ne doit jamais faire dans la restauration : il a laissé déverrouillée la porte arrière du restaurant un bon matin et il s’est fait surprendre par trois voleurs armés.-En essayant d’ouvrir le coffre fort, sa main tremblante de nervosité, il n’arrivait pas à faire la combinaison numérique. Un des intrus a paniqué et a tiré. Heureusement pour Jerry, les choses n’ont pas traîné et il a vite été transporté à l’hôpital. Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs, Jerry a reçu son congé de l’hôpital avec des débris de la balle qu’on n’avait pas réussi à lui retirer du corps.
-J’ai revu Jerry six mois après l’incident et je lui ai demandé comment il réagissait à tout ça. « Si j’allais mieux que ça, dit-il, nous serions deux : mon jumeau et moi. Tu veux voir les cicatrices ? »-Je n’ai pas voulu voir la blessure mais je lui ai demandé ce qui lui avait passé par la tête au moment du vol. et Jerry de dire : « La première chose qui m’est venu à l’idée est que j’aurais dû fermer à clé la porte arrière du restaurant. Et puis, étendu sur le plancher après m’être fait tiré une balle, je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix : ou bien de vivre ou bien de mourir. Et j’ai choisi de vivre. »
-« T’as pas eu peur ? » lui dis-je. Et lui de répondre : « Les ambulanciers ont été bien corrects. Ils n’ont pas cessé de me dire que tout allait bien. Mais en entrant dans le bloc opératoire de l’hôpital, j’ai vu l’expression du visage des médecins et des infirmières et, là, j’ai eu peur. J’ai vu dans leurs yeux que j’étais un homme mort et j’ai su que je devais agir vite. »-« Et alors, qu’as-tu fait ? »-« Eh bien, mon ami, il y avait une infirmière qui me bombardait de questions : elle voulait savoir si j’étais allergique à quelque chose. J’ai dit oui, et les médecins et les infirmières se sont arrêtés pour entendre ce que j’allais leur dire.J’ai pris une profonde respiration et je leur ai dit que j’étais allergique aux balles de fusil ! quand ils ont cessé de rire, je leur ai dit que j’avais fait le choix de vivre et qu’ils feraient mieux de m’opérer comme si j’étais un homme vivant plutôt qu’un homme mort ! »
-Jerry a survécu grâce à l’expertise des médecins mais aussi grâce à son attitude étonnante !j’ai appris de lui que, tous les jours, nous devons faire des choix : ou bien de profiter pleinement de la vie ou bien de s’y emmerder tant qu’on veut. La seule chose qui nous appartient et que personne ne peut contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes. Alors, quand on peut cultiver des attitudes positives, tout le reste est de la petite bière.

Pensée


Nos passions possèdent leur propre sagesse : elle guident notre pensée ainsi que le choix de nos valeurs, et assurent notre survie.


Daniel Goleman

Bonne année et objectifs


Bonjour,


Je vous souhaite une très belle année 2009 de la santé, de l'amour, de l'abondance, de la prospérité et que vos rêves deviennent réalité.
Voici quelques suggestions pour débuter l'année :
. clarifiez vos objectifs
. faites-vous un carton de réves : Trouver des images et des mots dans des revues qui vous font vibrer et collez ceux-ci sur votre carton, vous pouvez aussi dessiner des images et ajouter des mots, laissez aller votre créativité.
. écrivez une lettre datée du 31 décembre 2009
Chère meilleure amie,
Toi qui me console, me supporte dans mes crises d'émotions, qui rit avec moi, qui pleure avec moi et qui est la complice numéro un de ma route. Tu es toujours là, tes conseils, tes critiques, tes bons mots. Si prêt de moi à chaque instant, je te ressens au creux de moi, très présente et disponible. Toi ma meilleure amie qui est moi.
Depuis des années, j'écris au premier jour de l'année, une lettre a ma meilleure amie. Cette lettre consiste a vous positionner au 31 décembre 2009, et de lui écrire tout ce que vous avez véçu durant ces douze derniers mois. Vos voyages, vos rapprochements, votre vie affective, vos enfants, votre vie professionnelle, votre vie personnelle, votre loisirs, vos sports... Les changements que vous avez apporté à votre vie pour y mettre plus de bonheur, de joie et d'amour.
Il n'a pas de limites de pages, prenez une heure dans un endroit tranquille que vous appréciez avec une boisson chaude, un feu de cheminée, une musique zen et sortez votre plus belle plume, votre papier à lettre et laissez vous guider par les mots et le plaisir d'écrire à sa meilleure amie son année 2009.
Cacheté l'enveloppe est noter à ouvrir le 31 décembre 2009 seulement « Confidentiel ».
Si vous manquez d'inspiration, pensez à un de vos bons amis et imaginez-vous que vous l'avez pas vu, ni parler depuis un an, et vous souhaitez lui donnez des nouvelles de vous.
Je vous souhaite que tous vos rêves se réalisent en 2009 ou mieux.
Bonne Année à tous

Pensée du 29 décembre 2008


«Là où la foi est parfaite, la réalisation est également parfaite.»– Emmet Fox

mercredi 17 décembre 2008

Pensée du 18 décembre 2008


«Les meilleures choses ont besoin de patience.»– Jean Anglade

Pensée du 17 décembre 2008


«Si chaque pas que vous posez sur la terre est une prière, vous progresserez toujours dans le respect du sacré. Alors, votre pas lui-même deviendra sacré.»– Charmaine White Face

Je reviens tout juste du supermarché, les sacs remplis de beaux fruits colorés. J’allais m’installer et grignoter les mûres que je viens d’acheter en écrivant le message d’aujourd’hui… Puis, au moment d’aller chercher le casseau dans la cuisine, une sorte de mur invisible m’a arrêtée.En une fraction de seconde, j’ai réalisé que chacune de mes mûres avait pris des centaines d’heures à atteindre sa juteuse maturité. J’ai pensé aux personnes qui ont investi leur précieuse énergie vitale pour les cultiver. J’ai pensé à tout ce que la nature a orchestré pour que ces petits fruits deviennent les grands délices qu’ils sont aujourd’hui. Et, toujours pendant ce court instant, j’ai compris que mes mûres méritaient mieux que d’être grignotées par un esprit à moitié présent, occupé à réfléchir et à écrire. Elles méritent d’être vénérées, elles méritent d’être dégustées à 200 %.Tout est sacré, tout est digne de notre pleine attention. Et chaque petite chose devient une prière lorsqu’on prend le temps de bien la faire.

mercredi 19 novembre 2008

Pensée du 19 novembre 2008


«La sagesse n'est pas dans la raison, mais dans l'amour.»– André Gide


J’ai vécu une expérience intéressante récemment: une personne que je trouvais adorable semblait – ô surprise! – ne pas m’apprécier particulièrement. Elle était du genre très extravertie et verbomoteur; j’ai l’impression que mon tempérament plus calme la rendait inconfortable.En côtoyant cette dame, j’ai eu une prise de conscience ultra sweet et libératrice que j’ai eu envie de partager avec vous: j’ai réalisé que je pouvais continuer à l’admirer et à la trouver attachante même si le sentiment ne semblait pas être partagé. Je n’ai pas besoin de recevoir pour donner, pour aimer… Je n’ai pas besoin de son respect pour la respecter.On est conditionnés à se rigidifier lorsque les beaux sentiments qui nous habitent ne sont pas réciproques… «S’il ne m’aime pas, je ne l’aimerai pas moi non plus!», right? Or, c’est nous que l’on pénalise et que l’on punie lorsqu’on ferme notre coeur ainsi. On se coupe ainsi de notre nature profonde et de notre joie de vivre.

vendredi 7 novembre 2008

Pensée du 6 novembre 2008



«Une vie passée à faire des erreurs est non seulement plus honorable, mais aussi plus utile qu’une vie passée à ne rien faire.»– George Bernard Shaw
La peur de l’erreur est un venin anti-plaisir, anti-magie et anti-progrès.Je ne sais pas quel type de caméra vous possédez… De mon côté, je remarque que j’expérimente beaucoup plus, que j’ai beaucoup plus de plaisir et que je fais de bien plus belles photos depuis que je suis passée du film au numérique. Je sais que j’aurai toujours l’option de les détruire, donc je m’accorde la permission de rater autant de clichés que je le désire. Et cette liberté me permet de véritablement oser, de créer… De faire des choses nouvelles, inspirées.Le fait est: les clichés ratés sont aussi importants que les clichés réussis... Un ne va pas sans l’autre; on ne peut créer un œuvre véritablement artistique autrement. Et qu’est-ce que la vie, sinon LA forme d’art ultime? On ne peut pousser les limites de notre génie qu’en acceptant de nous salir, de déborder, de dessiner en-dehors des lignes...Une peinture à numéros? No, thanks!

mercredi 5 novembre 2008

Amour


Un jour, une femme sort de sa maison et voit 3 vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas. Elle leur dit "Je ne pense pas que je vous connaisse,mais vous devez avoir faim, s'il vous plaît entrez et je vous donnerai quelque chose à manger." " Est-ce que les enfants de la maison sont là ? " ont-ils demandé. Non, ils sont sortis." leur répondit-elle. Alors nous ne pouvons pas entrer", ont-ils répondu. En fin d'après-midi lorsque les enfants reviennent de l'école, la femme raconte son aventure avec les 3 hommes aux gamins. "Va leur dire que nous sommes à la maison et invite-les à entrer !" dirent-ils à leur mère. La femme sort et inviteles hommes à entrer dans la maison. Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison," ont-ils répondu. Un des vieillards explique :"Son nom est Richesse,"dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre,"Lui c'est Succès et moi je suis Amour." Il a alors ajouté :"Retourne à la maison et discute avec ta famille pour savoir lequel d'entre nous vous voulez dans votre maison." La femme retourne à la maison et dit à sa famille ce qui avait été dit. "Comme c'est étrange ! ", s'exclament les enfants :" Puisque c'est le cas, nous allons inviter Richesse " ! La mère n'était pas d'accord. " Pourquoi n'inviterions-nous pas succès ? Votre père en aurait bien besoin dans ses affaires... "La plus petite, Raffie, qui suçait encore son pouce, s'exprima à son tour : 'Veux mamours, veux mamours...''Les parents fondirent devant tant de câlinerie enfantineet la mère sortit inviter Amour à entrer... Amour se lève et commença à marcher vers la maison. Les 2 autres se lèvent aussi et le suive. Etonnée, la femme demande à Richesse et Succès :" J'ai seulement invité Amour.Pourquoi venez-vous aussi ? "Les vieillards lui répondirent ensemble : "Si vous aviez invité Richesse ou Succèsles deux autres d'entre nous serions restés dehors, mais puisque vous avez invité "Amour", partout où il va, nous allons avec lui,puisque partout où il y a de l'Amour, il y a aussi de la Richesse et du "Succès" !!!!
MON DESIR POUR TOI... Là où il y a de la douleur, je te souhaite la paix et la pitié... Là où il y a le doute en toi, je te souhaite une confiance renouvelée... Là où il y a la fatigue ou l'épuisement, je te souhaite la compréhension, la patience et la force... Là où il y a la crainte, je te souhaite l'amour et le courage.
Invite l'amour en partageant cette histoire avec tous les gens de qui tu te soucies
DANSE ... comme si personne ne t'observait
AIME ... comme si tu n'avais jamais été blessé auparavant
CHANTE ... comme si personne ne pouvait t'entendre
VIS ... comme si le paradis était sur terre

Pensée du 5 novembre 2008



«Il n'y a pas d'erreur, pas de coïncidence. Tous les événements sont des bénédictions qui nous sont données pour que nous apprenions.»– Elizabeth Kübler-Ross
Bon matin! Continuons sur le thème des erreurs...J’ai écrit un message il y a une semaine ou deux sur l’effet placebo. Je mentionnais que si on ingérait un comprimé de caféine en étant convaincu qu’il s’agit d’un sédatif, par exemple, on serait fort probablement détendu même si on devrait normalement avoir les nerfs à vif...Les erreurs – en fait, toutes les expériences – sont un peu comme de tels comprimés; elles contiennent parfois des ingrédients actifs nocifs… Mais même si on pourrait dire qu’elles sont négatives dans l’absolu, le sens qu’on décide de leur donner prend toujours le dessus.

Pehnsé

Pensée du 4 novembre 2008



«L’obstacle est le chemin.»– Proverbe zen
On a parfois le sentiment d’avoir dévié de notre chemin, que ce soit dans une sphère spécifique de notre vie ou dans son ensemble. On emprunte des routes un peu plus longues ou cahoteuses que prévu, et on croit avoir gaspillé du temps...Le véritable gaspillage est la croyance que le gaspillage existe, et l’état de rigidité qui en résulte (sans compter la culpabilité...). Ce sont les pensées du type «Je ne suis pas où je devrais être» qui nous ferment aux possibilités, non pas le fait d’être où on est.Chaque détour devient notre «chemin officiel»; la vie est fluide comme une rivière, et elle continue de couler avec une puissance phénoménale même en présence de rochers. À chaque moment, nous sommes à l’endroit parfait. À chaque moment, tout y est.

samedi 1 novembre 2008

Pensée du 1er novembre 2008


«Les problèmes du monde ne peuvent être résolus par des sceptiques ou des cyniques dont les horizons se limitent aux réalités évidentes. Nous avons besoin d'hommes capables d'imaginer ce qui n'a jamais existé.»
– John F. Kennedy

Thomas Edison a inventé l’ampoule AVANT qu’il y ait un réseau électrique. Imaginez… Il a passé des années à tester des milliers de substances différentes provenant du monde entier, même s’il savait que personne ne pourrait utiliser le bidule qu’il était en train de créer. Il n’a pas attendu qu’une compagnie installe un réseau électrique, ou que son projet soit logique, avant de se lancer… Il a pris les devants et il s’est laissé guider par sa «folie», qui est aussi son génie. Il portait son attention sur la réalité potentielle, non pas sur la réalité actuelle...

Jusqu’où pourriez-vous aller si vous preniez vos décisions en fonction non pas de ce qui est concret et visible, mais de ce que vous sentez être possible?

Vivre dans le futur est une fuite qui peut nous empêcher d’aller vers l’avant. Amener le futur dans le présent, par contre, est un acte de courage qui nous amène à faire des pas de géants...

Amour et Lumière !!!


Sache que, même si ton âme est cachée dans l’obscurité elle demeure une étincelle de la flamme véritable. Elle est UNE avec la plus grande de toutes les Lumières.Trouve dans cette Lumière LA SOURCE, le sens de ta quête. La Lumière est la vie!

Nous sommes aussi des créateurs... Tout ce que l’homme est provient de sa sagesse. Il est le résultat de sa propre cause. Il est le créateur de sa réalité.

Recevoir parfaitement.. C’est pourquoi, Ô homme, assure toi que les effets que tu provoques seront eux mêmes les causes d’effets qui seront parfaits. Hermès Trismégiste

jeudi 23 octobre 2008

Pensée 22 octobre 2008


«Il y a des étoiles mortes qui brillent encore parce que leur éclat est pris au piège du temps.»
– Don Delillo

Les photons de lumière que vous captez lorsque vous regardez une étoile briller ont quitté l'astre en question à l’ère des dinosaures. Imaginez… Depuis des millions d’années, ils voyagent à travers le cosmos – à la vitesse de la lumière, littéralement… Jusqu’à vous.

Savez-vous à quel point vous êtes petit, mais aussi à quel point vous êtes grand? Aujourd’hui, j’aimerais vous rappeler que vous êtes majestueux et important...

Allez, brillez! Laissez *votre* lumière rayonner

mardi 21 octobre 2008

Pensée du 21 octobre 2008


«Tous les coups de chance dont vous bénéficiez dans la vie existent déjà dans votre imagination. L'imagination est l'atelier de votre esprit qui convertit votre énergie mentale en actions d'éclat et en richesses.»
– Napoléon Hill

dimanche 19 octobre 2008

Pensée 19 octobre 2008


«Le chocolat est non seulement agréable au palais, mais encore, c’est un véritable baume pour la bouche, qui garde en bonne santé glandes et muqueuses. C’est pourquoi ceux qui en boivent ont une haleine si douce.»
– Dr Stephanius Blancardius d’Amsterdam, 1705

Combien de fois mangez-vous un dessert en vous disant «Je vais prendre du poids»? Ou combien de fois avez-vous été rongé par la culpabilité en digérant le hamburger auquel vous avez succombé?

En tant qu’ex-éducatrice en santé, je suis vendue à l’idée de bien s’alimenter. Vous ne pouvez imaginer la quantité de verdure que j’ai ingurgitée! Cela dit, il est important de reconnaître qu’il y a une force tout aussi puissante que celle des aliments qui sont dans notre assiette… C’est celle de notre esprit.

Si vous ingériez un comprimé en étant convaincu qu’il s’agit d’un puissant médicament, vous bénéficieriez fort probablement des bienfaits attendus – même si le comprimé en question n’était en réalité qu’un simple jujube (et même si le comprimé était supposé produire l’effet inverse, en fait). C’est l’effet placebo, qui est observé et mesuré continuellement. Il ne s’agit pas d’une croyance ésotérique, mais d’une réalité solide comme du béton – d’un fait scientifique.

Imaginez ce que vous créez lorsque vous vous répétez que vous êtes en train de vous endommager la santé, ou que vous grossirez… Oui, exactement. De grâce, enlevez donc le mot «cochonneries» de votre vocabulaire et de votre esprit. Quoi que vous mangiez, mangez-le avec gratitude et avec des attentes aussi positives que possible. Vous êtes puissant; créez prudemment.

dimanche 12 octobre 2008

Pensée du 11 octobre 2008




«Quand une porte se ferme, une autre s'ouvre.»
– Miguel de Cervantès

On entend toujours le claquement des portes qui se ferment plus clairement que la douce rotation des portes qui s’ouvrent à nous. Mais avec chaque fin, il y a véritablement un terrain fertile pour un nouveau départ...

Pensée 12 octobre 2008


«Ni la contrainte, ni la sévérité, ne vous ouvriront l'accès de la vraie sagesse, mais bien l'abandon et une joie enfantine. Quoi que ce soit que vous vouliez apprendre, abordez-le avec gaieté.»
– Henry David Thoreau

Le courant naturel de la vie coule dans le sens de la joie et de l’allégresse. Ce n’est pas un hasard si les choses viennent à nous avec fluidité lorsqu’on est dans ces états. Tout tombe graduellement à sa place lorsqu’on se décrispe.

Faire en sorte d’être aussi gaie et «léger» que possible est certainement le plus beau cadeau qu’on puisse faire au présent ET à l’avenir.

dimanche 24 février 2008

L'INVITATION Par Oriah Mountain Dreamer


Peu importe comment tu gagnes ta vie. Ce que je veux savoir, c’est l'objet de ce désir qui brûle en toi à t'en faire mal; ce que je veux savoir, c'est si tu oses,ne serait-ce que rêver de réaliser le désir profond de ton cœur.

Peu importe l'âge que tu as.Je veux savoir si tu es prêt à risquer de passer pour un fou,au nom de l'amour, au nom de tes rêves secrets,au nom de la simple aventure d'être vivant.

Peu m'importe quelles planètes sont en conjonction avec ta lune.Je veux savoir si tu as touché le centre de ta tristesse,si tu t'es ouvert aux trahisons de la vie ou si tu t'es ratatiné,refermé de peur de ressentir une douleur de plus. Je veux savoir si tu peux t'asseoir avec la douleur,la mienne ou la tienne,et rester là sans bouger,
sans essayer de la cacher, de l'éviter ou de la travestir.

Je veux savoir si tu peux être un avec la joie, la mienne ou la tienne; si tu peux danser sauvagement,laisser l'extase te remplir jusqu'au bout des doigts et des orteils sans nous prévenir constamment de faire attention,d'être réaliste sans nous rappeler à chaque seconde que l'être humain a des limites dont on doit tenir compte.

Peu importe que l'histoire que tu racontes soit vraie ou fausse. Je veux savoir si tu es capable de décevoir quelqu'un pour rester fidèle à toi-même; si tu peux supporter d'être accusé de trahison pour ne pas trahir ton âme; si tu peux être sans foi et cependant digne de confiance.

Je veux savoir si tu peux continuer de voir la beauté même quand ce n'est pas très joli au jour le jour et si tu as choisi de nourrir ta vie à cette source.

Je veux savoir si tu peux vivre avec l'échec,le tien comme le mien, te tenir néanmoins au bord du lac et crier Ouiiiii ! à la pleine lune argentée

Peu importe où tu habites, combien d'argent tu as. Je veux savoir si tu peux te lever après une nuit de douleur et de désespoir, épuisé et meurtri, et faire ce qu'il faut pour les enfants.

Peu importe qui tu connais, par quel chemin tu es venu ici. Je veux savoir si tu te tiendras au centre du feu avec moi sans chercher à t'en aller ou à reculer.

Peu importe ce que tu as étudié, où, avec qui. Je veux savoir ce qui te porte et te soutient à l'intérieur quand tout le reste s'est évanoui.

Je veux savoir si tu peux être seul avec toi-même et si tu aimes vraiment ta propre compagnie dans les moments vides.

jeudi 21 février 2008

Réflexion


Plus tu es bien, plus tu te fais plaisir, plus tu deviens libre, moins tu as besoin des autres.