Les plaisirs de Nathalie

J'aime la vie, les gens, la nature, les animaux. J'aime la recherche.

Je suis étudiante en hypnose. J'ai fini mon cours de PNL et je suis enfin maître pénéliste.


lundi 29 mars 2010

« Rien n’a de pouvoir sur moi que ce que je crée par une réflexion consciente »

Voilà une pensée que j'aimerais développer aujourd’hui avec vous.

Ne connaissez-vous pas des gens qui semblent tout réussir alors que d’autres semblent crouler sous les épreuves et les échecs ?
Peut-être vous reconnaissez-vous dans cette réflexion...

Les uns ont-ils de la chance alors que d’autres se font incessamment agresser par le « sort », les « étoiles » ou le « destin » ? Pourquoi les uns réussissent là où tant d’autres échouent ?

Ce qui est certain, c’est que notre état d’esprit sera toujours le fil conducteur de notre vie. Bien que dans la plupart des cas notre vie soit le résultat de nos choix, dans d'autres cas, nous ne décidons pas toujours les épreuves que nous subissons, c’est vrai. Parfois, les éléments externes, la conséquence des choix des autres ou des événements indépendants de notre volonté en sont la cause. Nous ne maîtrisons pas tout dans notre vie, c’est vrai.
Quoi qu’il en soit, l’effet que cela aura sur notre attitude et de l’interprétation et le sens que nous lui donnons est entre nos mains. Nous sommes maîtres de ce que nous en faisons !

Prenons quelques exemples concrets et quelques moments de réflexions.

Imaginez que plusieurs personnes vivent un événement totalement identique :

Une personne « de nature » inquiète se concentre principalement sur quoi ?
Sur tous les scénarios négatifs et celle des autres dans le même cas. Ainsi tout le sens qu’il donnera à un événement sera guidé par cette inquiétude.

Une personne « de nature » défaitiste se concentre principalement sur quoi ?
Sur tous les échecs de sa vie et celle des autres dans le même cas. Ainsi tout le sens qu’il donnera à un événement sera guidé par cet automatisme de défaite.

Une personne « de nature » optimiste se concentre principalement sur quoi ?
Sur tout ce qui peut arriver de mieux et sur les expériences des autres qui connaissent le succès. Ainsi tout le sens qu’il donnera à un événement sera guidé par ce même optimisme.

Une personne « de nature » enthousiaste se concentre principalement sur quoi ?
Sur toutes les choses positives et sur ses potentiels, sur ses réussites vécues ou à réaliser.

Peut-on devenir un bon danseur sans âvoir suivi d'entraînement et sans le faire avec la conviction qu'on y arrivera ?

Quelle que soit l’expérience de la vie, qu’elle soit le résultat de nos choix ou de facteurs externes indépendants de notre volonté, nous avons tous le pouvoir d'en faire ce que nous désirons. Nous pouvons tous lui donner l’importance que nous voulons.
Dans la minute où vous décidez de vous concentrer sur quelque chose, c’est cette chose qui contrôlera votre vie !
Ne cherche-t-on pas souvent à justifier nos émotions en tentant de les identifier avec celles des autres qui réagissent comme nous. Comme si nous devions nous rassurer que ce que nous sentons est finalement normal.
En optant pour ce schéma comportemental, cela n’aide personne à se sortir de ce marasme qui agace pourtant tellement celui qui le vit… ça fatigue, on perd tout sentiment de paix intérieur et on perd l’estime de soi.
Si vous voulez vivre les choses différemment, c’est votre vision que vous vous faites d’un événement qu’il faut changer, l’importance que vous lui accordez et vous inspirer d'autres exemples édifiants.

Vous l'avez compris : nous pouvons tous vivre une seule et même situation et la percevoir de façon totalement différente selon notre attitude face à cette situation.
Comment expliquer que certaines personnes peuvent rire d’une situation alors que d’autres s’en affligent ou en pleurent, ou se mettent colère, ou s’offusquent, ou se mettent dans la défensive, ou… tout ce que vous voulez…
Une situation est invariable. Les perceptions et les réactions, elles, le sont !
Nous ne pouvons rien changer aux événements, mais nous pouvons changer notre façon de l’interpréter !

Les choses qui monopolisent nos pensées seront celles sur lesquelles nous allons nous concentrer. Va-t-on se concentrer sur le passé, le présent ou le futur qui guidera notre vision et nos attitudes ? Va-t-on se concentrer sur la conviction que votre vie est « maudite » ou qu’elle vous offre des « opportunités » de grandir en sagesse, expérience et connaissance ?

Avez-vous remarqué que lorsque vous êtes enceinte qu’il semble qu’il n’y a jamais eu autant de femmes enceintes autour de vous ?
Ce n’est pas qu’il y en a plus.
C’est que votre perception a changé, votre situation de vie aussi, vous attendez un enfant et votre regard ne sera que fixé sur cet événement heureux et ceux qui partagent le même sort que vous ! Du coup, il vous semble que la grossesse est devenue une épidémie.
Ou encore, par exemple, vous venez d’acheter une voiture qui vous semblait assez différente des autres et… dès que vous l’avez, il vous semble que tout le monde s’est passé le mot : ils ont la même que la vôtre…
Eh bien non, mais vous y prêtez tout simplement plus d’intérêt qu’avant ! Votre vision a changé et cette vision guide votre attention.

Il en est de même avec la vie dans tous ses domaines.
C’est ce qui vous préoccupe, la chose que vous fixez qui influencera vos perceptions, vos pensées et finalement vos actions !

Si nous sommes pessimistes, nous le sommes devenus à force d’expériences négatives sur lesquelles nous restons perpétuellement fixés. Personne ne naît pessimiste, on le devient. Comme personne ne naît avec une prédisposition à l’échec ! Les répétitions dans des processus de pensées forment nos habitudes. Nous pouvons, au même titre que nous avons formé nos habitudes négatives et auto sabotantes, construire de nouvelles habitudes constructives.

Croire à l’échec et continuer à le croire est un moyen d’empoisonner son esprit. Lorsque nous emmagasinons des émotions négatives, les perceptions déstructices, nous affectons notre physiologie, notre capacité de réflexion et notre état interne qui finalement nourriront nos croyances et nos actions. L’une des plus grandes limites que rencontrent les hommes, c’est la peur de l’échec.

Comment penseriez-vous et feriez-vous différemment si vous étiez sûr de ne pas échouer ? Ne cherchez pas des facteurs négatifs. Pensez sincèrement : « qu’est ce que je tenterai si j’étais sûr de ne pas échouer ? » Quelle serait votre réponse ?
Si vous croyiez ne pas échouer, peut-être envisageriez-vous de travailler différemment, de vous lancer dans des projets que vous estimiez impossible ou irréalisables.

Si vous voulez changer quelque chose dans votre vie, il est indispensable de changer sa vision, de point de mire. Elevez vos valeurs, vous méritez mieux !

Les gens qui récoltent du succès sont ceux qui croient au succès et se concentrent dessus. Ils s’inspirent à leur tour d’autres histoires inspirantes et d’hommes et de femmes qui ont accomplis des choses extraordinaires. Ils ne laissent leur sort ni entre les mains de « la chance » ou de « la providence » ou des « étoiles » ou des « autres », ils décident d’agir vers ce succès qu’ils fixent.

C’est à force de persévérance et de répétitions positives que nous pouvons changer le cours de notre vie !

samedi 13 mars 2010

Enracinement


Pourquoi et comment s’enraciner…
Quand il est question d’enracinement, bien des gens deviennent perplexes : pourquoi s’enraciner
alors que nous sommes en pleine transmutation ascensionnelle ? Comment le mouvement peut-il
aller à la fois vers « le haut » et vers « le bas », n’y a-t-il pas une contradiction dans les termes ?
Or, la plupart des textes de Bianca Gaïa nous invitent à réaliser que l’Ascension, ce n’est pas de
« quitter la terre pour s’élever vers le ciel », mais bien « incarner notre Essence divine dans la
plénitude co-créatrice illimitée ». C’est pourquoi le processus ascensionnel ne peut être possible
que lorsque nous assumons pleinement notre divinité ET notre humanité, en communion avec la
planète toute entière. Nous canalisons de hautes vibrations célestes à travers tout notre Être, y
compris notre corps physique, et, pour que celui-ci parvienne à emmagasiner ces puissantes
énergies, il importe qu’il soit bien « groundé ».
Je crois que le plus simple, pour bien comprendre, c’est de se servir d’un exemple éloquent : une
rose. Ce qu’il y a de plus beau dans cette plante, ce ne sont ni ses feuilles, ni ses épines, mais bien
sa fleur, lorsqu’elle s’épanouit et exhale un parfum onctueux. Toutefois, si on coupe la tige dès
qu’apparaît un bouton, il y a peu de chance que la rose puisse sortir de sa coquille… Il faut
attendre le bon moment et donner à la plante juste la bonne quantité d’eau et de soleil, voire même
de l’engrais et des soins attentionnés. Mais surtout, il faut s’assurer qu’elle soit bien enracinée
dans le sol et, au moment de la floraison, il ne faut surtout pas tenter de la transplanter… Vous
saisissez l’image?
A mes yeux, l’Ascension, c’est le « fleurissement » de notre Être divin. Nous nous sommes implantés
sur cette terre dans un corps physique pour croître et évoluer, nous nous sommes garnis de feuilles
(nos talents et nos réussites) et d’épines (notre personnalité, nos défis), mais il importe que nous
soyons bien enracinés afin de vraiment pouvoir fleurir, c’est-à-dire rayonner de notre lumière
céleste.
La bonne façon de s’enraciner, ne serait-elle pas de s’incarner pleinement, de ressentir à quel point
nous sommes connectés à tout ce qui vit et réaliser que nous sommes alimentés par l’énergie de la
planète toute entière ? Comme les plantes, nous savons que nous pouvons être influencés par ce qui
se passe à l’extérieur de nous : pour elles, la température et l’environnement, pour nous, les
situations, les gens et le climat environnant. Mais, au contraire des plantes, c’est nous qui décidons
ce que nous faisons avec les informations que nous recevons. C’est nous qui choisissons
d’interpréter les événements à notre avantage ou à notre détriment.
S’enraciner, c’est puiser dans la terre toute l’énergie nécessaire pour demeurer fort et ferme vis-àvis
des tempêtes qui peuvent sévir autour de nous, que nous soyons concernés ou non. S’enraciner,
ça veut dire se recentrer à chaque fois que ça « brasse » autour de nous en se prenant le temps
« d’évacuer » tout ce qui pourrait nous perturber, au fur et à mesure, à travers notre « connexion »
privilégiée à la terre, notre fil conducteur de « mise à la terre », notre « ground » ou notre
« paratonnerre énergétique », si vous préférez.
Pour ce faire, il vous suffit d’imaginer que de solides racines poussent sous vos pieds et à partir de
chacun de vos orteils et que ces racines s’enfoncent profondément dans le sol, juste en dessous de
vous. Celles-ci agissent de la même façon que celles des plantes : elles vous permettent de
demeurer solidement ancré dans votre corps physique, mais aussi d’aller chercher la « sève »
planétaire, la vitalité et les réserves énergétiques pour nourrir et consolider tout votre Être.
Vous voulez savoir si vous êtes bien enraciné actuellement ? Imaginez que quelqu’un vous bouscule
sur son passage : s’il y a de fortes chances que vous vous en trouviez déséquilibré, c’est que vous
n’êtes pas bien ancré physiquement.
Visualisez maintenant la position d’un joueur de baseball dans l’attente d’un lancer ou encore celle
de quelqu’un qui pratique les arts martiaux : les genoux sont toujours un peu fléchis et le bassin
légèrement basculé vers l’avant, la colonne vertébrale se trouve ainsi bien alignée et le corps se
maintient dans une position stable, parfaitement équilibrée. Essayez de bousculer quelqu’un dans
une telle posture : impossible de le faire tomber, ni même de le déplacer !
Il n’est pas nécessaire de vous mettre à pratiquer le yoga ou le judo à partir d’aujourd’hui pour
vous enraciner. Cette position d’ancrage peut être adoptée dans tout état stationnaire : dans une
file d’attente, en faisant la vaisselle, en parlant au téléphone… Pour vous aider à bien faire circuler
l’énergie dans vos jambes, vous pouvez même fléchir les genoux encore davantage, en gardant
toujours le bassin bien aligné avec la colonne… jusqu’à ce que vous ressentiez des picotements le
long des cuisses ou que vos mollets tremblotent légèrement. C’est bon signe : ça veut dire que la
circulation sanguine s’accentue. Prenez deux ou trois respirations profondes (en vous assurant de
bien gonfler l’abdomen en même temps que les poumons, pour bien alimenter le « hara ») et vous
vous sentirez mieux, partout à l’intérieur de vous.
Sur le plan vibratoire, l’alignement des chakras et de la colonne vertébrale favorise aussi
l’enracinement énergétique. Le dernier chakra étant ouvert et circulant non pas vers l’avant mais
« vers le bas », le fait que ce centre soit enligné perpendiculairement au sol nous permet de
demeurer en connexion énergétique constante avec le ciel et la terre, puisque, de cette manière,
l’énergie circule aisément de haut en bas et du bas vers le haut, à travers tous les centres vitaux.
Une fois bien aligné et enraciné, votre corps tout entier, tant sur le plan physique que subtil,
devient un puissant canal d’énergie, captant toutes les ondes purificatrices bénéfiques disponibles
sur le plan céleste ou terrestre, afin d’harmoniser tout votre Être, de recharger constamment vos
« batteries » et même, vous permettre de donner, de « transmettre » cette énergie sans jamais vous
vider… C’est ce que veut dire RAYONNER : émaner de cette puissante énergie de transmutation
par tous les pores de votre peau, pour votre plus grand bénéfice… et celui de la planète toute
entière – qui reçoit ces ondes lumineuses purificatrices à travers vous, de par la qualité de votre
enracinement énergétique.
Comprenez-vous maintenant l’importance d’être bien incarné ? Votre corps physique sert de
véhicule à votre Essence divine et il ne peut emmagasiner qu’un niveau d’énergie « supportable »
par rapport à ses possibilités de canalisation et d’ancrage. Plus vous serez enraciné, plus l’énergie
circulera librement à l’intérieur de vous, un peu comme le fil électrique muni d’une tige de « mise à
la terre » (ground) peut accepter davantage de voltage qu’un simple fil à « deux branches »…
Tout est dans l’équilibre : imaginez une table à deux pattes, versus une table à trois pattes, laquelle
sera la plus stable ? Comme les humains marchent seulement sur « deux jambes », pour
s’équilibrer, il est bénéfique de se munir de « racines énergétiques », ou encore, de se créer une
« troisième patte» en visualisant un prolongement énergétique de sa colonne vertébrale qui s’étire
jusque dans le sol…
L’important, c’est de sentir que l’énergie d’amour, de lumière et de guérison pénètre dans tout
notre corps et s’ancre solidement dans toutes nos cellules… pour ensuite s’enraciner jusque dans
les profondeurs de la Terre. Ainsi, nous faisons UN avec la planète toute entière, favorisant la
circulation de l’énergie purificatrice et incarnant concrètement les vibrations ascensionnelles
auxquelles nous aspirons tous.
Pour vous aider à vous enraciner, voici un petit exercice de visualisation tout simple qui vous
permettra de vous connecter à la Terre nourricière dont vous êtes issus :
« JE SUIS UN ARBRE »
VERSION AUDIO MP3 Cliquer le lien ci-dessous

http://www.biancagaia.com/Fichiers/Meditation_Je-suis-un-arbre.mp3
Fichier de 3,2 Mo

Installé confortablement dans une position qui me permet de respirer librement et de bien aligner
ma colonne vertébrale, j’imagine que je suis un arbre grand et majestueux. Mon corps se dresse,
droit et solide, tel le tronc de cet arbre que rien ne viendra déranger.
De puissantes racines poussent sous mes pieds et à partir de chacun de mes orteils. Bien ancrées
dans le sol, j’imagine que ces racines s’enfoncent profondément dans la terre et se subdivisent en
plusieurs ramifications. Celles-ci se répandent très loin autour de moi pour m’ancrer et puiser dans
le sol les énergies dont j’ai besoin afin de régénérer tout mon Être. Mes racines font maintenant
UN avec la Terre, mère nourricière qui m’abreuve d’une sève revitalisante, sereine et bienfaisante.
Remontant le long de mes jambes à travers mes veines et mes artères, cette sève vivifiante circule
partout dans mon métabolisme. Elle nettoie et purifie chacun de mes organes, libérant ainsi toutes
les toxines et les blocages qui s’y trouvaient. L’énergie de guérison parcourt toutes les parties de
mon corps, du bas vers le haut, s’intensifiant dans ma poitrine et au niveau de mon coeur.
J’accueille cette douce chaleur qui m’enrobe, me réconforte et m’apaise en toute tranquillité.
Mes bras, tels les branches de l’arbre, s’ouvrent pour laisser s’épanouir mes sentiments et mes
émotions, comme autant de feuilles doucement ballottées par le vent. Dans ma tête, je laisse fleurir
des pensées de joie, de reconnaissance et d’allégresse envers cette vie nouvelle qui coule en moi.
Mon esprit se vide de toutes pensées négatives pour simplement accueillir cette sève magique qui
donne maintenant naissance à des bulles d’amour envers moi-même et l’univers qui vit en moi.
Je sens la lumière du soleil caresser ma peau, illuminant mon Être tout entier qui vibre désormais
au rythme des saisons. Je suis moi-même lumière, mes cheveux étant comme des milliers
d’antennes, de semences captant l’énergie du cosmos. Intérieurement, je sais que ces semences
feront naître à chaque instant les fruits d’un bonheur inestimable et ce, pour le reste de ma vie.
Je respire profondément, me sentant comblé et débordant d’énergie. Tout doucement, je reprends
contact avec la réalité qui m’entoure, sachant que, désormais, mes racines énergétiques me
permettent de demeurer bien enraciné et de rayonner d’amour envers tout ce qui vit. Ainsi soit-il !
Message de Bianca Gaïa/Diane LeBlanc, le 16 novembre 2005, disponible aussi sur
www.intermonde.net/BiancaGaia
Vous êtes invité à faire circuler ce message à condition d’en respecter l’intégralité,
y compris ces quelques lignes. Pour vous inscrire/désinscrire de notre liste d’envoi,
vous informer sur nos services personnalisés ou tout simplement communiquer avec Diane :
par téléphone (450) 752-0224 ou par courriel biancagaia@pandore.qc.ca
Vous avez besoin d’aide pour dénouer vos blocages inconscients
ou pour connaître votre défi d’incarnation actuel ? Cliquez ici.

mardi 9 mars 2010

Bénédiction d'un repas


Seigneur Dieu de mon être et de l’Univers.
Bénis ce repas, fruit de la terre et du travail des humains.
Il deviendra pour nous des cellules merveilleuses dans un corps en santé.
Bénis aussi ceux et celles qui l’ont préparé,
ainsi que ceux et celles qui sont ici pour le partager.
Bon appétit!

mercredi 3 mars 2010

Métaphore - Tout est dans la perspective


Un jour, le père d'une famille très riche partit avec son fils dans la campagne, pour lui donner une leçon de vie. Il voulait lui faire voir comment les gens pauvres vivaient.

Ils passèrent donc quelques jours auprès d’une famille très pauvre. À leur retour son père lui demanda:

- As-tu aimé ton voyage ?
- Oui papa.

- As-tu remarqué comment vivaient les pauvres gens ?

- Oui papa.
- Alors dis-moi ce que tu as appris de ce voyage.

Son fils lui répondit :

- J'ai vu que nous avons un chien; eux, ils en ont quatre.

- Nous avons une piscine au milieu du jardin; eux, ils ont un lac sans fin.

- Nous avons des lampes importées pour le patio pour nous éclairer la nuit; eux, ils ont les étoiles et la lune pour les éclairer.

- Nous avons un petit lotissement de terre; eux, ils ont des champs à perte de vue.

- Nous avons des domestiques pour nous servir; eux ils s'entraident.

- Nous achetons notre nourriture; eux ils la font pousser.

- Nous avons un mur tout autour du terrain pour nous protéger; eux, ils ont les amis pour les protéger....

Le père était sans voix.

Et son fils ajouta...

Merci papa de me montrer combien nous sommes pauvres !

mardi 2 mars 2010

Pensée du 2 mars 2010



Chaque homme bâtit à chaque instant son avenir, celui de la planète, celui de l'univers entier! Plus son niveau de conscience s'élève, plus les vibrations de son environnement augmentent et plus la terre s'harmonise, "se divinise". (André Harvey)

mardi 23 février 2010

Image du 23 février 2010

La métaphore des deux loups intérieur


Un homme âgé dit à son petit-fils, venu le voir très en colère conte un ami qui s'était montré injuste envers lui :

« Laisse-moi te raconter une histoire… Il m'arrive aussi parfois de ressentir de la haine contre ceux qui se conduisent mal et n'en éprouvent aucun regret. Mais la haine t'épuise et ne blesse pas ton ennemi. C'est comme avaler du poison et désirer que ton ennemi en meure. J'ai souvent combattu ses sentiments ».

Il continua :
« c'est comme si j'avais deux loups à l'intérieur de moi : le premier est bon et ne me fait aucun tort. Il vit en harmonie avec tout ce qui l'entoure et ne s'offense pas lorsqu'il n'y a pas lieu de s'offenser. Il combat uniquement lorsque c'est juste de le faire, et il le fait de manière juste. Mais l'autre loup, ah, il est plein de colère. La plus petite chose le précipite dans des accès de rage. Il se bat contre n'importe qui, tout le temps, sans raison. Il n'est pas capable de penser parce que sa colère et sa haine sont immenses. Il est désespérément en colère et pourtant sa colère ne change rien. Il est parfois si difficile de vivre avec ces deux loups à l'intérieur de moi parce que tous deux veulent dominer mon esprit ».

Le garçon regarda attentivement son grand-père dans les yeux et demanda :
« lequel des deux l'emporte, grand-père ».

Le grand-père sourit et répondit doucement : « celui que je nourris ».

vendredi 19 février 2010

Image du 19 février 2010

La métaphore des jeunes voyageurs et du sage


Il était une fois, un vieil homme assis à l’entrée d’une ville du Moyen Orient. Un jeune homme s’approcha et lui demanda
« Je ne suis jamais venu ici, comment sont les gens qui vivent dans une ville ? »

Le vieil homme lui répondit par une question :
« Comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ? »
« Égoïstes et méchants... C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’étais bien content de partir » dit le jeune homme.
Sur quoi, le vieillard répondit : « Tu trouveras les mêmes gens ici ».

Un peu plus tard, un autre jeune homme s’approcha et lui posa exactement la même question.
« Je viens d’arriver dans la région, comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? »
« Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ? »
« Ils étaient bons et accueillants, honnêtes, j’y avais de bons amis, j’ai eu beaucoup de mal à la quitter », répondit le jeune homme.
« Tu trouveras les mêmes ici » répondit le vieil homme.

Un marchand qui faisait boire ses chameaux à côté avait entendu les deux conversations. Dès que le deuxième jeune homme s’éloigna, il s’adressa au vieillard sur un ton de reproche : « Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la même question posée par deux personnes ? »
« Mon cher monsieur, dit le vieil homme, celui qui ouvre son cœur change aussi son regard sur les autres. Chacun porte son univers dans son cœur ».

jeudi 18 février 2010

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Image du 18 février 2010

10 leçons pour être belle



1. Pour avoir des lèvres attirantes, prononcez des paroles de bonté.

2. Pour avoir de beaux yeux, regardez ce que les gens ont de beau en eux.

3. Pour rester mince, partagez vos repas avec ceux qui ont faim.

4. Pour avoir de beaux cheveux, faites qu'un enfant y passe sa main chaque
jour.

5. Pour avoir un beau maintien, marchez en sachant que vous n'êtes jamais seule.

6. Vous le faites pour les choses, mais les gens en ont eux aussi besoin :
réparez-les, bichonnez-les, redonnez-leur vie, sauvez-les; ne les jetez jamais.

7. Pensez-y : si un jour vous avez besoin d'une main secourable, vous en trouverez une à chaque bout de vos bras. En vieillissant vous vous rendrez compte que vous avez deux mains, l'une pour vous aider vous-même, l'autre pour aider ceux qui en ont besoin.

8. La beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, son visage ou sa façon d'arranger ses cheveux. La beauté d'une femme se voit dans ses yeux, car c'est la porte ouverte sur son cœur, la source de son amour.

9. La beauté d'une femme n'est pas dans son maquillage, mais dans la vraie beauté de son âme. C'est la tendresse qu'elle donne, l'amour, la passion qu'elle exprime.

10. La beauté d'une femme se développe avec les années.

mardi 16 février 2010

Image du 16 février 2010

dimanche 14 février 2010

Un brin d'histoire


une coutume vieille de 4000 ans, à Babylone, voulait que pendant le mois qui suivait un mariage, le père de la mariée devait offrir à boire à son beau-fils autant de mead qu'il pouvait. Le mead était une bière à base de miel, et, comme le calendrier était basé sur les cycles lunaires, cette période ét...ai...t appelée le mois du miel, et d'ou, de nos jour la Lune de Miel.

Un brin d'histoire

sous l'Ancienne Angleterre, si on n'était pas membre de la famille royale, on ne pouvait pas avoir de relations sexuelles sans l'accord du Roi ? Pour avoir un bébé, il fallait demander audience auprès du roi, qui vous remettait un panneau à clouer sur votre porte pendant le rapport. Sur le panneau était écrit F.U.C.K. pour Fornication Under Consent of King.

Joyeuse St-Valentin !

dimanche 24 janvier 2010

Statistiques sur le corps


La nourriture met 7 secondes pour aller de la bouche à l'estomac.
Un cheveu humain peut supporter un poids de 3 kg.
Le pénis d'un homme représente 3 fois la longueur de son pouce.
L'os de la hanche est plus solide que le ciment.
Le coeur d'une femme bat plus vite que celui d'un homme.
Il y a environ mille milliards de bactéries sur chacun des pieds.
Les femmes clignent des yeux 2 fois plus souvent que les hommes.
La peau d'un humain pèse 2 fois plus que son cerveau.
Le corps utilise 300 muscles juste pour se tenir en équilibre, debout.
Les femmes ont déjà fini de lire ce message, tandis que les hommes sont encore en train de mesurer leur pouce...

Réflexion du 24 janvier 2010



Réflexion
Si un jour, on te reproche que ton travail n'est pas un travail professionnel, dis-toi bien que des amateurs ont construit l'arche de Noé et des professionnels, le Titanic.
Ha ! Ha ! Ha !

jeudi 21 janvier 2010

Pensée du 21 janvier 2010



On ne saurait aborder en même temps des deux côtés de la rivière. - Il faut risquer de perdre une rive à jamais, pour un jour toucher l'autre. - Gilles Vignault

Besoin d'électricien, opticien, artiste...



Nous avons besoin: d' un électricien pour rétablir le courant entre les gens qui ne se parlent plus, d'un opticien pour changer le regard des gens,d'un fossoyeur pour enterrer la hache de guerre, d'un artiste pour dessiner le sourire sur tous les visages, d'un maçon pour bâtir la paix et un professeur de maths pour apprendre à compter les uns sur les autres...

mardi 19 janvier 2010

La métaphore des ballons noirs



Un jour, un petit garçon noir regarda un marchand de ballons dans la rue. Ses yeux brillèrent. Il y a des ballons de toutes les couleurs : des rouges, des bleus, des blancs, des noirs, et des jaunes ! Quel magnifique spectacle pour cet enfant émerveillé par tant de couleurs et de ballons.

Le vendeur de ballons, âgé, aperçu le garçon, yeux grands ouverts et bouche bée, hésitant qui fini par s’approcher du vendeur.

« Dis Monsieur, est-ce que les ballons noirs volent aussi haut que les autres ? »

L’homme ridé et ému par une telle innocence, s’accroupit et prit le garçonnet dans ses bras pour l’installer sur un muret juste derrière lui.
Il répliqua : « Regarde » Il ouvrit la main pour laisser échapper tous ses ballons qui s’envolèrent en grappe pour se disperser dans le ciel au gré du vent.
Et les ballons montèrent, montèrent,… tellement haut et tellement loin qu’ils ne les virent plus.

« Tu as vu ? », lui demanda le vieillard.

« Oui », acquiesça le garçonnet émerveillé.

« Est-ce que les ballons noirs sont montés aussi haut que les autres ? »

« Oui Monsieur ! » répondit l’enfant dont les yeux brillaient de mille feux.

« Tu vois, mon garçon, les ballons, c'est comme les hommes. L'important ce n'est pas leur couleur, ce n'est pas l'extérieur. Non, l'important, c'est CE QU'IL Y A EN EUX. C'est ce qu'il y a en toi qui fera toute la différence dans ta vie. »

Le garçonnet devenu adulte n’oublia jamais cette leçon de vie incroyable : il était comme les autres, il était capable des mêmes exploits que les autres !



Si vous imaginiez une journée idéale, qui serait à vos côtés ? Que feriez-vous ? Comment commenceriez-vous la journée ? Où iriez-vous ? Quel environnement choisiriez-vous ? Que ressentiriez-vous à la fin d'une telle journée ? Toutes nos perceptions naissent dans notre esprit. Créez cette journée pour qu'elle corresponde à ce que vous désirez profondément.

samedi 16 janvier 2010

L’histoire des deux cailloux




Il y avait une fois dans un village un fermier sans le sou qui devait rembourser une importante somme d’argent à un vieil homme très laid. Comme le fermier avait une fort jolie fille qui plaisait beaucoup au vieux prêteur, ce dernier proposa un marché.

Il dit qu’il effacerait la dette du fermier s’il pouvait marier sa fille. Le fermier et sa fille furent tous deux horrifiés par cette proposition. Alors le vieux prêteur ratoureux suggéra que le hasard détermine l’issue de la proposition. Il leur dit qu’il mettrait un caillou blanc et un caillou noir dans un sac d’argent vide, et que la fille aurait à piger, à l’aveuglette, un des deux cailloux du sac.

1) si elle pige le caillou noir, elle devient son épouse et la dette de son père
est effacée

2) si elle pige le caillou blanc, elle n’a pas à l’épouser et la dette du père est
également annulée

3) si elle refuse de piger un caillou, son père est jeté en prison

Cette discussion avait lieu sur le chemin devant la maison du fermier, et le sol était jonché de cailloux. Tout en continuant de parler, le vieux monsieur laid se pencha pour ramasser les deux cailloux. Comme il les ramassait, la jeune fille, qui avait l’œil vif, remarqua qu’il avait ramassé deux cailloux noirs et qu’il les avait mis dans le sac. Mais elle ne dit rien. Puis le vieux prêteur demanda à la jeune fille de piger dans le sac.

Imaginez un instant ce que vous auriez fait si vous aviez été là. Qu’auriez-vous conseillé à la jeune fille de faire?

Si on analyse bien, il y a 3 possibilités :

1) la fille devrait refuser de piger un caillou
2) la fille devrait sortir les deux cailloux noirs du sac, montrant que le vieux
a triché
3) la fille devrait piger le caillou noir et se sacrifier en mariant le vieux pour
épargner l’emprisonnement à son père
Prenez un moment pour réfléchir à cette situation. Cette histoire a pour but de vous faire apprécier la différence entre la pensée logique et la pensée dite “latérale”. Le dilemme de la jeune fille ne peut pas être résolu de façon équitable par la pensée logique traditionnelle. Pensez aux conséquences de chacune des trois options possibles. Alors, qu’auriez-vous fait?


Bien voici ce que la jeune fille fit :

Elle pigea dans le sac et en sortit un caillou qu’elle échappa aussitôt par terre, gauchement, sans qu’on ait pu le voir, et il se confondit spontanément avec la multitude des autres cailloux sur le sol.

Ah! ce que je peux être maladroite, s’exclama la jeune fille. Mais qu’importe, si je sors du sac le caillou qui reste, on verra bien lequel j’avais pigé en premier!

Puisque le caillou restant était noir, le premier caillou pigé ne pouvait qu’être blanc. Et comme le vieux prêteur n’osa pas avouer sa malhonnêteté, la jeune fille transforma une situation qui semblait impossible en un dénouement fort avantageux.


La morale de cette histoire :

Il existe une solution pour la plupart des problèmes complexes. C’est juste qu’on ne sait pas toujours regarder les choses sous le bon angle.

Puisse votre semaine être remplie de pensées positives et de sages décisions.

jeudi 14 janvier 2010

Lumières nordiques au dessus du Yukon - Festin pour les yeux!





Lumière Nordique et Arc-en-ciel de feu au dessus de
Yellowknife, Yukon, Canada

Ne manquez pas la dernière photo!

LA PROCHAINE PHOTO EST UN ARC-EN-CIEL DE FEU - UN ÉVÉNEMENT

ATMOSPHÉRIQUE NATUREL D'UNE GRANDE RARETÉ.

LA PHOTO A ÉTÉ PRISE CETTE SEMAINE L'ÉVÉNEMENT A DURÉ À PEU PRÈS 1 HEURE.

LES NUAGES DOIVENT ÊTRE DES "CIRRUS " , SITUÉS À AU MOINS 20 , 000 PIEDS D'ALTITUDE, INTÉGRANT JUSTE LE BON NOMBRE DE CRISTAUX DE GLACE ET IL FAUT QUE LE SOLEIL FRAPPE LES NUAGES À EXACTEMENT 58 DEGR É ES.

mardi 12 janvier 2010

Citation 12 janvier 2010



Ce que tu redoutes n'arrivera pas...
Il arrivera pire encore...

Jean Rostand

Pensée 12 janvier 2010



Nous ne sommes pas nos pensées , nous sommes le créateur de nos pensées....Deepak Chopra. Alors qu'allez vous créer aujourd'hui pour demain ?

L'histoire de la petite maison verte


En classe, un professeur demande de dessiner une maison.
Petite Marie dessine une maison comme elle l’aime : la façade est verte, les volets rouges et la cheminée orange.
Moqueur, le prof lui dit : « Mais ça va pas la tête ? Où as-tu vu une maison verte toi ? »

La petite fille se décompose et cesse de dessiner.

Un an plus tard, petite Marie se trouve dans une nouvelle classe avec un tout nouveau prof. Une nouvelle fois, au cours de dessin, le prof demande aux élèves de dessiner une maison.

Marie ne peut plus rien dessiner… A la fin du cours, la gamine remet alors une feuille toute blanche. Rien, pas un trait, aucune trace de couleur…

Le professeur la prend et s’exclame : « Oh mais elle est magnifique ta maison sous la neige ! »


La puissance d’une réaction fait toute la différence entre avoir confiance en soi ou se faire détruire !
Ne tolérez pas qu’on vous détruise !
Ne vous laissez pas décourager et cherchez, fréquentez et aimez des amis qui voient cette magnifique maison blanche dans vos dessins que vous n’osez plus dessiner…

Tout en 10



Maintenant que 2009 est disparu, accueillons sans 10cuter et sans grands 10cours cette nouvelle année ! Prenons de la 10tance avec les 10cordes et les 10putes. Nous 10posons de 365 jours pour nous 10tinguer 10crètement en 10tribuant amour et tolérance autour de nous. Mais n'oublions pas, tout de même, de nous 10traire tout en étant 10ponible pour les autres. Bonne année à Tous !!!

Pensée 12 janvier 2010



Lorsqu'une fourmi est en route vers une destination, si vous mettez un obstacle en travers de son chemin, elle trouvera un moyen de le franchir. Et si vous mettez un autre obstacle en travers de sa route, elle essaiera de trouver un autre moyen, par-dessus, par en-dessous ou autour. Combien de temps une fourmi continuera-t-elle à essayer ? Jusqu'à ce qu'elle meure. Une fourmi n'abandonne jamais. Quelle leçon !

vendredi 8 janvier 2010

Citation



La meilleure façon
de se libérer d'une tentation,
c'est d'y succomber.

Oscar Wilde

mercredi 6 janvier 2010

L'année 2010 en numérologie



2 + 1 = 3
une année de créations en tous genres, une année de communication.

mardi 5 janvier 2010

Question lors d'un entretien d'embauche de 200 candidats



Que feriez-vous dans cette situation ?

Une compagnie qui recrutait du personnel, a posé la question suivante à presque 200 candidats ( autant hommes que femmes ) et leur a demandé une réponse écrite :

De retour à la maison, dans votre voiture sport, en plein milieu d'une terrible tempête, vous passez devant un arrêt de bus et vous y voyez 3 personnes:

a) Une dame âgée gravement malade et qui mourra si elle n'arrive pas à l'hôpital à temps.

b) Un médecin, bon ami à vous, qui vous a sauvé la vie il y a quelques années.

c) L'être le plus beau que vous n'ayez jamais eu la chance de rencontrer, la personne à qui vous avez toujours rêvé et avec laquelle vous seriez disposé à passer le reste de votre vie.

Comme votre auto est du genre sport, vous pouvez seulement amener un passager.

Que feriez-vous?

Ceci est un test de personnalité..... Réfléchissez comme il faut:
a) La vie de la dame âgée est en jeu.
b) Le médecin qui vous a sauvé la vie, vous pourriez toujours le rétribuer d'une manière ou d'une autre.
c) Mais, comment faire pour ne pas perdre cet amour parfait?

Des 200 candidats, seulement un a obtenu le travail, et sa réponse vous la trouverez plus bas, mais auparavant, réfléchissez à ce que vous feriez si vous étiez dans cette situation et ensuite, comparez votre réponse avec celle de l'unique personne qui a été engagée par l'entreprise...

pour qui voteriez-vous ?

Voici la “fiche morale” de trois candidats. Pour qui voteriez-vous s’il y avait une élection la semaine prochaine?

Candidat 1: Il fréquente des politiciens corrompus et consulte des astrologues. Il a eu deux maîtresses. Il fume comme une cheminée et boit une dizaine de martinis par jour.

Candidat 2: Il a été expulsé du Parlement deux fois, il dort jusqu’à midi, il a déjà fumé de l’opium au collège et il boit un litre de scotch chaque soir.

Candidat 3: C’est un héros de guerre décoré. Il est végétarien, ne fume pas, boit une bière de temps en temps et n’a jamais eu de relation extraconjugale.

Vous avez fait votre choix?

Le candidat 1 est Franklin D. Roosevelt.
Le candidat 2, Winston Churchill.
Et le candidat 3, Adolf Hitler.

Petit exercice



Fixez les 4 petits points alignés au centre de l’image pendant 15 secondes.
Ensuite, regardez un mur et clignez des yeux à répétition en gardant votre regard sur le mur.

Magique!