Les plaisirs de Nathalie

J'aime la vie, les gens, la nature, les animaux. J'aime la recherche.

Je suis étudiante en hypnose. J'ai fini mon cours de PNL et je suis enfin maître pénéliste.


mardi 30 décembre 2008

Combien pèse l'eau



Lors d’une de ses nombreuses prestations, le conférencier explique la gestion du stress à son auditoire. En lèvant un grand verre rempli d’eau, il demande : « Combien pèse ce verre d’eau ?
Les réponses vont de 20 gramme jusqu’à 500 grammes. Le conférencier réplique: Le poids absolu de ce verre n’a aucune importance. Tout dépend de la durée que vous essayez de le tenir.
« Si je le tiens une minute, ce n’est pas un problème. Si je le tiens pendant une heure, j’aurai de la douleur dans mon bras droit. Si je le tiens pour toute la journée, vous allez devoir appeler une ambulance. Dans tous les cas c’est le même poids, mais plus longtemps je le tiens, plus il devient lourd. »
Il continue : « Et c’est le même cas avec la gestion du stress. Si on porte un fardeau tout le temps, tôt ou tard, comme le fardeau devient de plus en plus lourd, on ne sera plus capable de continuer. Comme pour le verre d’eau, vous devez le déposer pour un moment et vous reposer avant de le reprendre.
Quand on est frais et dispos, on peut continuer avec son fardeau. Donc, avant de retourner à la maison le soir, déposez votre fardeau de travail. Ne l’apportez pas à la maison. Vous pourrez le reprendre demain.
Quel que soit le fardeau que vous portiez maintenant, laissez-le pour un moment si vous le pouvez. Relaxez. Reprenez le plus tard quand vous serez reposés. Il vous semblera plus léger ..
«La vie est courte. Tachez d’en profiter!»
Et puis il a partagé quelques façons de gérer les fardeaux de la vie :
- Acceptez que certains jours vous êtes le pigeon, et certains jours vous êtes la statue.
- Gardez toujours vos paroles douces et tendres, au cas où vous devriez les ravaler.
- Conduisez prudemment. Il n’y a pas que les voitures qui peuvent être rappelées par leur manufacturier.
- Si vous ne pouvez pas être gentil, ayez au moins la décence d’être vague.
- Si vous passez 20$ à quelqu’un et que vous ne le voyez plus jamais, ça en valait probablement la peine.
- Tout le monde s’en fout que vous dansiez mal. Levez vous et dansez!
- Étant donné que ce sont les premiers vers qui se font manger par les oiseaux, dormez tard.
- Les anniversaires sont bons pour vous. Plus vous en avez, plus vous vivez vieux.
- Vous n’êtes peut-être qu’une personne dans le monde, mais vous pouvez aussi être le monde pour une personne.
- Certaines erreurs sont trop amusantes pour n’être faites qu’une seule fois.
- On peut apprendre beaucoup des crayons. Certains sont aiguisés, certains sont jolis et certains sont ternes. Certains ont des noms bizarres, et tous sont de couleur différente, mais ils vivent tous dans la même boîte.
- Une personne vraiment heureuse en est une qui apprécie le paysage dans un détour.

lundi 29 décembre 2008

Jerry la bonne humeur




Il est toujours de bonne humeur et a toujours quelque chose de positif à dire. Quand on lui demande comment il va, il répond toujours : « Si j’allais mieux que ça, nous serions deux : mon jumeau et moi ! »Gérant d’un restaurant, quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses sont prêts à lâcher leur job pour le suivre d’un restaurant à un autre pour la seule raison qu’ils admirent son attitude. Il est un motivateur naturel. Quand un employé file un mauvais coton, Jerry est toujours là pour lui faire voir le bon côté des choses.
-Curieux, je suis allé voir Jerry un jour pour lui demander : « Je ne comprends pas. Il n’est pas possible d’être toujours positif comme ça, partout, tout le temps. Comment fais-tu ? »-Et Jerry de répondre : « Tous les matins à mon réveil, je me dis que, aujourd’hui, ou bien je choisis d’être de bonne humeur, ou bien je choisis d’être de mauvaise humeur. Je choisis toujours d’être de bonne humeur. Quand il arrive un incident déplorable, ou bien je choisis d’être la victime, ou bien je choisis d’en tirer une leçon.Quand quelqu’un vient se plaindre à moi, ou bien je choisis d’entendre sa plainte, ou bien j’essaie de lui faire voir le bon côté de la chose. »-« Mais ce n’est pas toujours si facile », lui dis-je. Et Jerry d’enchaîner : « La vie, c’est une question de choix. On choisit sa façon de réagir aux situations. On choisit de quelle façon les autres peuvent nous influencer ou non. On choisit d’être de bonne humeur ou de mauvaise humeur. On choisit de vivre sa vie de la manière qui nous convient. »
-Plusieurs années plus tard, j’entends dire que Jerry a fait incidemment ce qu’on ne doit jamais faire dans la restauration : il a laissé déverrouillée la porte arrière du restaurant un bon matin et il s’est fait surprendre par trois voleurs armés.-En essayant d’ouvrir le coffre fort, sa main tremblante de nervosité, il n’arrivait pas à faire la combinaison numérique. Un des intrus a paniqué et a tiré. Heureusement pour Jerry, les choses n’ont pas traîné et il a vite été transporté à l’hôpital. Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs, Jerry a reçu son congé de l’hôpital avec des débris de la balle qu’on n’avait pas réussi à lui retirer du corps.
-J’ai revu Jerry six mois après l’incident et je lui ai demandé comment il réagissait à tout ça. « Si j’allais mieux que ça, dit-il, nous serions deux : mon jumeau et moi. Tu veux voir les cicatrices ? »-Je n’ai pas voulu voir la blessure mais je lui ai demandé ce qui lui avait passé par la tête au moment du vol. et Jerry de dire : « La première chose qui m’est venu à l’idée est que j’aurais dû fermer à clé la porte arrière du restaurant. Et puis, étendu sur le plancher après m’être fait tiré une balle, je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix : ou bien de vivre ou bien de mourir. Et j’ai choisi de vivre. »
-« T’as pas eu peur ? » lui dis-je. Et lui de répondre : « Les ambulanciers ont été bien corrects. Ils n’ont pas cessé de me dire que tout allait bien. Mais en entrant dans le bloc opératoire de l’hôpital, j’ai vu l’expression du visage des médecins et des infirmières et, là, j’ai eu peur. J’ai vu dans leurs yeux que j’étais un homme mort et j’ai su que je devais agir vite. »-« Et alors, qu’as-tu fait ? »-« Eh bien, mon ami, il y avait une infirmière qui me bombardait de questions : elle voulait savoir si j’étais allergique à quelque chose. J’ai dit oui, et les médecins et les infirmières se sont arrêtés pour entendre ce que j’allais leur dire.J’ai pris une profonde respiration et je leur ai dit que j’étais allergique aux balles de fusil ! quand ils ont cessé de rire, je leur ai dit que j’avais fait le choix de vivre et qu’ils feraient mieux de m’opérer comme si j’étais un homme vivant plutôt qu’un homme mort ! »
-Jerry a survécu grâce à l’expertise des médecins mais aussi grâce à son attitude étonnante !j’ai appris de lui que, tous les jours, nous devons faire des choix : ou bien de profiter pleinement de la vie ou bien de s’y emmerder tant qu’on veut. La seule chose qui nous appartient et que personne ne peut contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes. Alors, quand on peut cultiver des attitudes positives, tout le reste est de la petite bière.

Pensée


Nos passions possèdent leur propre sagesse : elle guident notre pensée ainsi que le choix de nos valeurs, et assurent notre survie.


Daniel Goleman

Bonne année et objectifs


Bonjour,


Je vous souhaite une très belle année 2009 de la santé, de l'amour, de l'abondance, de la prospérité et que vos rêves deviennent réalité.
Voici quelques suggestions pour débuter l'année :
. clarifiez vos objectifs
. faites-vous un carton de réves : Trouver des images et des mots dans des revues qui vous font vibrer et collez ceux-ci sur votre carton, vous pouvez aussi dessiner des images et ajouter des mots, laissez aller votre créativité.
. écrivez une lettre datée du 31 décembre 2009
Chère meilleure amie,
Toi qui me console, me supporte dans mes crises d'émotions, qui rit avec moi, qui pleure avec moi et qui est la complice numéro un de ma route. Tu es toujours là, tes conseils, tes critiques, tes bons mots. Si prêt de moi à chaque instant, je te ressens au creux de moi, très présente et disponible. Toi ma meilleure amie qui est moi.
Depuis des années, j'écris au premier jour de l'année, une lettre a ma meilleure amie. Cette lettre consiste a vous positionner au 31 décembre 2009, et de lui écrire tout ce que vous avez véçu durant ces douze derniers mois. Vos voyages, vos rapprochements, votre vie affective, vos enfants, votre vie professionnelle, votre vie personnelle, votre loisirs, vos sports... Les changements que vous avez apporté à votre vie pour y mettre plus de bonheur, de joie et d'amour.
Il n'a pas de limites de pages, prenez une heure dans un endroit tranquille que vous appréciez avec une boisson chaude, un feu de cheminée, une musique zen et sortez votre plus belle plume, votre papier à lettre et laissez vous guider par les mots et le plaisir d'écrire à sa meilleure amie son année 2009.
Cacheté l'enveloppe est noter à ouvrir le 31 décembre 2009 seulement « Confidentiel ».
Si vous manquez d'inspiration, pensez à un de vos bons amis et imaginez-vous que vous l'avez pas vu, ni parler depuis un an, et vous souhaitez lui donnez des nouvelles de vous.
Je vous souhaite que tous vos rêves se réalisent en 2009 ou mieux.
Bonne Année à tous

Pensée du 29 décembre 2008


«Là où la foi est parfaite, la réalisation est également parfaite.»– Emmet Fox

mercredi 17 décembre 2008

Pensée du 18 décembre 2008


«Les meilleures choses ont besoin de patience.»– Jean Anglade

Pensée du 17 décembre 2008


«Si chaque pas que vous posez sur la terre est une prière, vous progresserez toujours dans le respect du sacré. Alors, votre pas lui-même deviendra sacré.»– Charmaine White Face

Je reviens tout juste du supermarché, les sacs remplis de beaux fruits colorés. J’allais m’installer et grignoter les mûres que je viens d’acheter en écrivant le message d’aujourd’hui… Puis, au moment d’aller chercher le casseau dans la cuisine, une sorte de mur invisible m’a arrêtée.En une fraction de seconde, j’ai réalisé que chacune de mes mûres avait pris des centaines d’heures à atteindre sa juteuse maturité. J’ai pensé aux personnes qui ont investi leur précieuse énergie vitale pour les cultiver. J’ai pensé à tout ce que la nature a orchestré pour que ces petits fruits deviennent les grands délices qu’ils sont aujourd’hui. Et, toujours pendant ce court instant, j’ai compris que mes mûres méritaient mieux que d’être grignotées par un esprit à moitié présent, occupé à réfléchir et à écrire. Elles méritent d’être vénérées, elles méritent d’être dégustées à 200 %.Tout est sacré, tout est digne de notre pleine attention. Et chaque petite chose devient une prière lorsqu’on prend le temps de bien la faire.